Nous y voilà...

Depuis le début de la saison, Gernot Rohr préconisait avant tout les 42 points synonymes de maintient. Les voila atteints et même dépassés (43), avec le match contre Rennes où les aiglons, dans une rencontre dominée par les bretons, ont réussis à s’imposer sur le score de 3 buts à 1.

Nous allons maintenant savoir si Nice et son "Teuton" d'entraîneur sont capable de nous offrir l'Europe tant attendue par tous les supporters niçois.

Gageons que le staff, et le président Maurice Cohen, vont s'y atteler dare-dare, car hier soir, nous avons bien vu que sans certains cadres (préretraités), le milieu et la défense étaient complètement déséquilibrés, et incapable d'offrir des solutions pour mettre sur orbite Meslin et Laslandes qui, malgré tout, ont claqué (un but chacun) sur deux grossières erreurs du gardien Rennais (au passage, merci garçon !).

Le maintien était la priorité la saison passée… La chose fut faite avec brio, et au-delà de toutes espérances, puisque l'OGC NICE caracolait en tête du championnat pendant 12 journées(s'il vous plait) pour s'essouffler en fin de saison, mais décrocher tout de même l'intertoto.

Cette année comme tout les initiées (dont je ne fait pas partie) le clamaient hauts et forts, c'était la saison de confirmation, la plus dure parait-il, objectif atteint une nouvelle fois, même s'il reste encore un bon nombre de matchs (et non des moindres).

Alors quel avenir pour notre bon vieux gym (et oui ! il est centenaire le bougre).
Car un stade de 40 000 places, sans une équipe qui crée un football alléchant, ou du moins susceptible d'attirer les foules, ça serait donner du caviar à des cochons.

Evitons une nouvelle fois d'acheter des joueurs, que l'on prête, on que l'on ne fait jamais jouer, car l'argent dépenser pour cela, pourrait servir à offrir à Nice une meilleure ossature, en y incluant certains jeunes issus du centre de formation (oui, nous en avons un à Nice !).
Alors messieurs les têtes pensantes du club, commençons maintenant à nous tourner vers l'avenir, car le fidèle public niçois ne se contentera pas toujours du maintien.

Pour finir, j'ajouterai que je suis fier de parler de MON équipe, et je les remercie de me faire, de nous faire, vibrer à chaque rencontre.

Féfé