Voici les notes du journal L'Equipe pour la rencontre Nice - Toulouse, de la 20e journée de Ligue 1
NICE
GREGORINI (4,5) : des sauvetages déterminants mais de sérieuses hésitations dont une sur le but.
FANNI (5,5) : un gros combat face à Mathieu et quelques bonnes initiatives en attaque.
S. TRAORÉ (5,5) : autoritaire, il n’a guère eu à s’employer.
ABARDONADO (6) : sa fougue, son goût du duel, lui ont permis de se sortir des rares situations critiques.
VARRAULT (5) : il a bloqué son côté mais a été moins tranchant que d’ordinaire.
ECHOUAFNI (5,5) : calme, placé, expérimenté, il a étouffé les velléités toulousaines.
BALMONT (5) : de l’activité à la récupération grâce à son pressing mais du déchet dans la relance.
ROOL(6) : un travail très précieux et une passe décisive pour B. Koné.
VAHIRUA (6) : à nouveau meneur, il a multiplié les bons services. Et a marqué un but exceptionnel (26e).
B. KONÉ (6) : un but plein de détermination (8e), une passe décisive, Nice va regretter qu’il parte à la CAN.
BAGAYOKO (5,5) : un bon travail de fixation et de conservation mais peu de réussite individuelle.
TOULOUSE
REVAULT (5) : il ne pouvait pas grand-chose, ni sur le missile de B. Koné, ni sur la reprise de Vahirua.
EBONDO (4,5) : il a essayé de s’accrocher mais le duo Rool-Koné lui a donné le tournis.
ARRIBAGÉ (5) : de bonnes interventions mais rien qui puisse empêcher la domination niçoise.
AUBEY (4,5) : rugueux face à Bagayoko avec lequel il a livré un duel de tous les instants.
MATHIEU (5) : beaucoup de disponibilité sur son côtémais cela n’a pas débouché sur du positif.
SIRIEIX (4,5) : souvent dominé par le milieu adverse, il a tenté d’ordonner le jeu toulousain en vain.
DIEUZE (4,5) : lui aussi a souffert de la comparaison avec l’entrejeu niçois.
EMANA (4) : très peu d’influence sur le jeu toulousain.
BONNET (4) : il a servi de relais à Mathieu sur les montées du défenseur mais sinon, on ne l’a guère vu. Suppléé par Dao (63e), buteur (85e).
BERGOUGNOUX (4) : pour toucher le ballon, il a dû revenir en arrière. Une occasion sortie par Gregorini.
D. MOREIRA (4) : sevré de ballons, il a le plus souvent couru dans le vide.
Jean-Pierre RIVAIS
L'Equipe