Voici les notes du journal l'Equipe, pour cette rencontre de la 23e journée de L1
NICE
LLORIS (5,5) : présent sur les quelques assauts bordelais. La frappe de Micoud allait trop vite (36e).
FANNI (5,5) : souvent dangereux, souvent mis en danger aussi.
KANTÉ (4) : des hésitations, des maladresses. Peu sûr.
APAM (4,5) : pas rassurant. À contre-temps avec Kanté.
VARRAULT (6) : le plus sécurisant des défenseurs niçois.
ÉCHOUAFNI (5,5) : de la présence, une belle ouverture pour le deuxième but d’Ederson (26e).
DIAKITÉ (5) : physiquement influent mais souvent lent à s’organiser.
BALMONT (6,5) : précieux techniquement. Du volume, de la vitesse, de l’engagement, de la relance.
EDERSON (8) : quelle spontanéité et quel culot sur ses buts ! Le second, magnifique, vient récompenser une formidable contre-attaque. Touché à l’épaule puis à la cheville, et remplacé par VEIGNEAU (65e), lequel a renforcé le couloir gauche.
B. KONÉ (4,5) : un peu seul devant. Rarement en position de marquer, il a mal utilisé sa vitesse.
LASLANDES (5,5) : des ballons grattés aux quatre coins du terrain. Il a joué juste et fut impliqué sur les deux buts.
BORDEAUX
RAMÉ (5) : pas d’arrêt notable. Des sorties sur le fil. Impuissant sur les buts.
FAUBERT (4) : pas de garantie défensive, pas d’assurance technique, peu d’initiative.
JEMMALI(4,5) : trop passif sur le second but d’Ederson, qu’il a regardé frapper, mais rarement inquiété. Un vilain tacle sur Koné (53e).
PLANUS (4) : une relance catastrophique sur le premier but d’Ederson (12e) gâche un match correct par ailleurs.
MARANGE (5,5) : pas vraiment aidé par l’absence de soutien défensif de Francia.
FERNANDO (6) : le plus entreprenant, surtout en seconde période.
MAVUBA (6,5) : solide, ambitieux, motivé, mais un peu seul.
PEREA(3,5) : le Colombien n’a rien montré. Remplacé par JUSSIÊ (4) qui semblait avoir les jambes mais ne s’est jamais situé.
MICOUD (5,5) : peu influent, un superbe but quand même (36e).
FRANCIA (4) : pas assez décidé, dans ses choix comme sur ses coups de pieds arrêtés. Décevant et remplacé par OBERTAN (76e).
CHAMAKH (5) : c’est toujours pareil : utile dans la surface, exaspérant dans ses choix et dans ses gestes. Remplacé par CAVENAGHI (65e), qui donna une impression de lourdeur et fut bien discret…
R. TE.
L'Equipe