Interviews :
PEYRAT : le Grand Stade
Nice-Matin, le 11/01/2003 à 15h47
« L'occasion manquée du Mondial 98 »
Jacques Peyrat s'engage à tout finir en trois ans. Tout, tout de suite ou presque ! Dans l'interview accordée à Nice-Matin, le sénateur-maire balaie les doutes qui pouvaient encore subsister quant à sa volonté de mener de front les grands projets. Voici ce qu'il dit à propos du nouveau stade.
- Le grand stade ! C'est votre grand projet qui semble rencontrer le moins d'opposition... tous d'accord !
« II y a quasi-unanimité, c'est vrai. Mais je ne me fais guère d'illusion. Tant que l'équipe l'OGCN caracole en tête de la L1, l'adhésion sera générale. Mais on en reparlera si par malheur nos Aiglons font un, deux ou trois faux pas... »
- Cet équipement va néanmoins coûter cher aux finances communales ?
« On a loupé le coche ; ça a été une erreur monumentale ! A cause de la frilosité du maire de l'époque. Honoré Bailet et de son adjoint aux finances, Paul Guerrier. Le stade aurait coûté à la commune moins de cent millions de francs lors-qu'avant le Mondial 1998, l'Etat proposait de financer lui-même cette infrastructure dans la plaine du Var. »
- A quoi ressemblera ce grand stade ?
« Les quatre équipes d'architectes en lice présenteront leurs projets ce 14 janvier au jury que je préside. Le lauréat sera désigné le 14 février et le conseil municipal se prononcera le 29 mars. »
Samedi 11 janvier 2003
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